Julie VICTOR est comédienne-chanteuse, danseuse quand on lui demande ! Elle a participé à plusieurs spectacles musicaux tels que « la Belle et la Bête » de Louis Dunoyer de Segonzac,« Alice au Pays des Merveilles » de Charlélie Couture, « Chance » d’Hervé Devolder, », « Ta bouche » et « Marier Maman » au Théâtre de l’Odéon de Marseille, ou encore « Pas sur la Bouche » au festival d’Aix les Bains ». Elle incarnait la Fée Viviane dans l’album concept « GRAAL » de Catherine Lara, vendu à plus de 100000 exemplaires.

Elle a été à l’affiche dans CABARET aux Folies Bergères, a incarné la « taupe modèle » dans Sol en Cirque dirigée par Jean Louis Grinda et a participé à la musique du générique de « Arthur et les Minimoys » sous la houlette d’Eric Serra.

Elle prépare son spectacle solo (voire son album !), dans un univers déjanté proche de la BD…et de la vraie vie !

Baryton-Basse /  Metteur en Scène

Né en 1967, Jean-François Vinciguerra suit des cours d’Art Dramatique dès l’âge de 14 ans. A 17 ans, il est Don Arias du Cid de Corneille aux côtés de Sylvia Bergé et Jean Davy de la Comédie Française dans une mise en scène de Daniel Dancourt.

Il étudie à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (Centre de la Rue Blanche) à Paris avant d’entrer dans la classe d’Art Lyrique de Michel Roux au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris puis à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris dans la classe de Michel Sénéchal.

Lauréat de la Fondation de France, du Concours Voix Nouvelles 1988, Prix de la Presse au Concours International Offenbach 1988 décerné par Alain Duault et Jean-François Kahn et Grand Prix Gabriel Dussurget au Concours International d’Oratorio et de Lied de Clermont-Ferrand 1992.

Ses facettes multiples lui permettent d’aborder divers styles musicaux, de l’Opéra-comique où il fait ses débuts dans le rôle de Bartolo du Barbier de Séville au Festival de Musique Ancienne d’Utrecht où il interprète Jupiter du Platée de Rameau, de l’Opéra National de Paris-Bastille dans Faust au Séoul Arts Center dans Salomé sous la direction de Myung Whun Chung en passant par le Wiener KammerOper pour les quatre rôles maléfiques des Contes d’Hoffmann, de Dulcamara de L’Elisir d’Amore à Lisbonne à la Tosca du Centenaire au Festival Puccini de Torre del Lago, jusqu’à la comédie musicale qu’il interprète, pour la première fois, à l’Opéra Royal de Wallonie à Liège avec Sugar (Certains l’aiment chaud) de Jule Styne pour les fêtes 2003 dans le rôle du milliardaire excentrique Osgood Bickertalk…

Metteur en scène, Eve Ruggieri l’invite au Festival « Musiques au Cœur » d’Antibes ainsi qu’au 1er Festival du Château Lacoste pour Il Viaggio de Rossini (spectacle sur la vie du compositeur qu’il incarne également), pour Croque… Notes !, spectacle gastronomico-musical.

A l’Opéra de Metz, il met en scène Le Comte Ory, au Festival du Château de Salles Le Barbier de Séville, aux Opéras de Metz et Limoges Les Saltimbanques, à l ‘Amphithéâtre de l’Opéra National de Paris-Bastille Une Nuit chez Jacques Offenbach (diffusé sur France 3), au Festival d’Auvers-sur-Oise et à l’Opéra de Metz Le Petit Faust et… Francis Blanche, qu’il interprète également, dans Cherche Piano Aqueux pour Jouer la Truite de Schubert au Théâtre de La Potinière à Paris et au Studio de l’Opéra National de Paris-Bastille (diffusé sur France 3), Fête chez le Roi Soleil à l’Opéra du Château de Versailles, La Mélodie du Bonheur, comédie musicale de Rodgers et Hammerstein, au Festival de Welkenraedt et au Grand Théâtre de Verviers (Belgique), Vol 19-05 pour la Lune : Embarquement Immédiat ! au 1er Festival des Voix du Monde à Saint-Denis de la Réunion, Sade ou le Mauvais Exemple, Le Rêve de Zamor, Un Amour de Sade, Sade Casanova le Rendez-Vous Rêvé et Mozart, l’Itinéraire Libertin au Festival du Château Lacoste, Monsieur de Chimpanzé, opérette de Jules Verne et Monsieur Choufleuri restera chez lui d’Offenbach à l’Opéra de Metz (Nov. 2005)

Pour « Musiques au Cœur » sur France 2, il interprète entre autres Coquenard du Véronique de Messager, Lajoie de La Poule Noire de Manuel Rosenthal sous la direction de Laurent Petitgirard et de Manuel Rosenthal, le Maestro Rossini dans Il Viaggio de Rossini, le Comte de Sade dans Sade ou le Mauvais Exemple

Parmi ses projets, la mise en scène de Carmen au IIème Festival des Voix du Monde à la Réunion (mai 2007), Popoff de La Veuve Joyeuse, mise en scène de Jérôme Savary à l’Opéra Comique (octobre-novembre 2006), la reprise de sa mise en scène des Saltimbanques à l’Opéra d’Avignon (mai 2007), Jupiter d’Orphée aux Enfers à l’Opéra Royal de Wallonie à Liège, Bartolo de Il Barbiere di Siviglia au Grand Théâtre de Limoges (2007), Tourillon de La Chauve-Souris à l’Opéra de Monte-Carlo…

D'origine ukrainienne, ancien élève au Conservatoire de musique de L'viv, en 1997, encore très jeune, il réussit le concours d'entrée à l'Opéra de Paris. Sa voix lui permet de commencer une carrière de soliste en France et en Europe. De 1983 à 1994, Wassyl SLIPAK chante dans le chœur national des garçons de L’viv “Dudaryk ”. Puis, il chante en qualité de soliste sous la direction des maîtres Mykola Katsal et Maria Baiko.
Dès 1994, le jeune baryton effectue des séries de concerts : Festival International d’Ukraine " Kyiv fest 94 ", Cantate de A. Kozarenko (Musique contemporaine), le Xe Concours International d’Oratorio et de Lied de Clermont-Ferrand, le Grand Prix France  de "Concert Art " à Zilina (Slovaquie), le Festival International de musique contemporaine à Odessa (Ukraine), " Two days and Two nights", Récital à l’Opéra de Vichy, un concert des airs folklore ukrainien.

Au cours de l'année 1995, Wassyl va enchaîner les spectacles et petit à petit se faire un nom dans le milieu lyrique dans des œuvres de Bach, Bizet, Galperine, Haydn, Mozart, Offenbach, Stravinski, Verdi,

Mussorgskiy etc.

Il participera au Festival International de Richard Wagner "festjugenspiel", à l’opéra de Carl Orff " Die

Bernaoerin ", 1995-1996 à l’Opéra de Clermont-Ferrand : " Le jeu de l’amour et du hasard" de Marivaux et

H. Rabaud, au Forum International des jeunes interprètes à Kyiv (Ukraine), et à l'Opéra de Clermont-Ferrand et à Paris Saint-Louis en l’île : " Requiem" de Mozart, etc.

En 1999, il joue le rôle de Masetto, député flamand dans "Don Carlo" de Giuseppe Verdi, le rôle d’Andres

dans "Carmen" de Georges Bizet, "Guerre et Paix" de Sergheï Prokofiev à l'Opéra de Paris.

En Septembre 2001, il poursuit ses études au Centre de Formation Lyrique de l’Opéra National de Paris et il fait ses master classes avec Renata Scotto et Teresa Berganza et continue de se produire dans de grandes

distributions à l’Opéra de Paris en tant que soliste.

En 2001, il participe au “Festival du cinéma russe”, avec “Déclarations d’amour” sur des vers d'Alexandre

Pouchkine et une musique de Youli Galperine.

Wassyl SLIPAK interprète les rôles de Lindorf, Dapertutto, Coppelius dans “Les Contes d’Hoffmann” de

Jacques Offenbach à Milan, Brescia, Como, Cremona en 2002.

Puis sous la direction de Jean-Pierre Loré, il est interprète du “Requiem” de Giuseppe Verdi à Madeleine à Paris.

En juin 2005, il interprète le Diable dans “Jeanne d’Arc au bûcher” d’Honegger à la Trinité, à Paris, sous la direction de Jean-Pierre Loré, avec le grand orchestre symphonique “Leopolis”, direction artistique

Miroslav Mygal et le grand chœur d’Oratorio, direction Carlo Loré.

En novembre 2006, il interprètera le rôle principale dans la création d’un opéra-ballet « Poisson d’or » de

Youli Galperine, qui sera la première mondiale au Théâtre d’Herblay et dans la région de Val d’Oise.

En janvier-février 2007, il interprètera « Requiem » de W.-A. Mozart dirigé par Martin Barral avec l’Orchestre Symphonique de Campus d’Orsay

Fin 2009- début 2010, la production de Eugène Onéguine de Tchaïkovski à Saint-Pétersbourg dans le rôle du Prince Gremine.
En 2010 il fait la prise du rôle de Boris dans «Boris Godunov», M. Moussorgski,(L’Amphithéâtre de L’UNESCO, Paris) en version concert avec L’Orchestre International de Paris, dirigé par Amine Kouider.

En novembre 2010 Il Commendatore et Masetto dans «Don Giovanni» à St Etienne, Andrezieu, Firmini, Roanne.

En décembre 2010 La Grande Messe en Ut de Mozart à L’Opéra-Théâtre de St Etienne.

En février 2011 La Messe en Si de J.-S.Bach à L’Eglise St Augustin (Paris) avec L’Orchestre International de Paris (dir. Amine Kouider)

2011 La Messe en Sol de F. Schubert à Notre-Dame de Vincennes.

2011 La 9ième Symphonie de L. van Beethoven à L’UNESCO (Paris) avec L’Orchestre

International de Paris, direction Amine Kouider.

2011 La Messe de Couronnement et Les Veprea Solonnes de Confessore de W.-A.Mozart à

St Eustache (Paris), direction Patrice Holiner.

En septembre 2011 il est Finaliste du CFPL à Paris (France).

En octobre 2011 il est élu: «The Best Male Performer 2011» dans «Armel International Opera

Competition» à Szeged (Hongrie)

2011 il incarne «Der Tod» dans «Der Keizer von Atlantis» de Viktor Ullman à Opéra de Cracovie

(Pologne) et à Szeged ( Hongrie).

Le mois de janvier 2012 débutera avec le «Requiem» de Verdi, dirigé par Amine Kouider (L’Orchestre

International de Paris).

En mars 2012, Wassyl Slipak sera Sparafucile dans «Rigoletto» de G.Verdi à «Amphithéâtre 3000» à

Lyon ainsi que dans «Rigoletto» de G.Verdi, dir. Andreï Chevtchouk.

28 mai 2012, Mephistopheles dans «Faust» de C.Gounod à L’UNESCO (Paris), dir. Amine Kouider.

L’été 2012 il fera la prise du rôle de Sarastro dans «La flûte enchantée» au Festival d’été en Corté

(Corse).

Septembre 2012 il est Ramfis dans «Aïda» de G. Verdi pour Opéra en plein air, dirigé par J.Blanc, mis-en-scène par Eli Chouraqui.

Le 13 février 2013, il chantera «Requiem» de G. Verdi au Théâtre des Champs-Elysées à Paris.

Et en avril-mai 2013, il est à L’Opéra de Toulon pour «la Flûte enchantée» de W.-A. Mozart.

En juillet 2013, il est Escamillo dans «Carmen» de G. Bizet au Festival d’Aix-les-Bains (France).

Yves Coudray débute sa carrière à l’âge de sept ans grâce à Yves Allégret qui le choisit pour incarner le rôle principal de son feuilleton télévisé Graine d’Ortie. Pendant dix ans il jouera aux côtés d’acteurs tels que Jean Piat, Pierre Fresnay, Jacques Weber, Carole Bouquet, Jean Carmet… tant à la télévision qu’au cinéma ou au théâtre dans un répertoire allant d’Aristophane à Brecht en passant par Pirandello, Roussin ou Feydeau.

Admis au CNSM de Paris l’année de ses dix-huit ans, Yves Coudray entame dès lors une carrière de chanteur aussi riche que diverse. Sur scène il a chanté plus d’une douzaine d’ouvrages d’Offenbach (dont les rôles principaux de La Périchole, Les Brigands, Le Pont des Soupirs mis en scène par Jean-Michel Ribes et Orphée aux Enfers à Genève mis en scène de Laurent Pelly et dirigée par Marc Minkovski), mais il sert aussi Mozart, Rossini, Britten, et Massenet.

Il se produit également en récital et en concert (Davidde Penitente de Mozart, Renard de Stravinsky avec les ensembles Muzicatreize et Erwartung ou la Serenade de Britten avec l’orchestre PACA sous la direction de Michel Béroff). La création contemporaine (Claude Prey, Graciane Finzi, et L’Epouse Injustement Soupçonnée de Valérie Stéphan mis en scène par Jacques Nichet) et la musique ancienne font également partie de son répertoire (Charpentier avec les Arts Florissants, Richafort, Carissimi, Bach ou plus récemment Delalande et Lully avec Le Bourgeois Gentilhomme enregistré à Versailles pour les disques Accord-Universal avec la Simphonie du Marais).

Engagé par les opéras de Genève, Marseille, Bordeaux, Rouen, Nancy, Toulouse, Metz et Lausanne, il participe aussi aux festivals d’Aix-en-Provence, Utrecht, Montpellier et Saint-Etienne.

Depuis quelques années, parallèlement à sa carrière d’interprète, Yves Coudray aborde la mise en scène. Invité régulier du Centre de Formation Lyrique de l’Opéra de Paris pendant cinq ans, il y dirige des extraits des grandes œuvres du répertoire (Werther, Guerre et Paix, Eugène Onéguine…) et y conçoit des spectacles originaux dont Prochain Arrêt mêlant des extraits d’opéras-comiques français. Dans ce cadre, Le Mariage aux Lanternes, Pomme d’Api, et Monsieur Choufleuri restera chez lui… ont été donnés à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille en 2001 (repris à l’Auditorium du Louvre en 2002 et en tournée). En 2002 il est invité à Colmar pour La Voix Humaine. Cette même année il est à l’origine de la reprise d’un ouvrage de Philidor, Les Femmes Vengées, qu’il met en scène et chante. Entre 1999 et 2002, il a également enseigné la diction et l’interprétation du répertoire français à l’Université de Peperdine en Californie dans un programme d’été destiné aux jeunes chanteurs américains.

Son parcours de metteur en scène l’a déjà mené au Liceu de Barcelone pour diriger Steven Cole dans son récital Animals Big and Small et à San Francisco, New York et Boston pour la création mondiale de Lamentations and Praises, drame liturgique de sir John Taverner avec l’ensemble Chanticleer et la Handel & Haydn Society of Boston.

Récemment, Yves Coudray a mis en scène Orphée aux enfers et Marseille-Broadway (spectacle sur la comédie musicale américaine) pour le C.N.I.P.A.L. à l’Opéra de Marseille ainsi que L’Elixir d’Amour donné dans une adaptation française au théâtre de la Reine Blanche à Paris et en tournée.

On a pu l’entendre à Paris dans La poule noire et Rayon des soieries de Manuel Rosenthal, à Brest dans Les Illuminations de Britten. Après sa création au festival d’Avignon, sa pièce L’oiseau rare se joue en ce moment au théâtre du Ranelagh, dans une mise en scène de Caroline Loeb.

Parmi ses projets : la mise en scène de Manon de Massenet (en collaboration avec Renée Auphan) et Salammbô d’Ernest Reyer à l’Opéra de Marseille.