Eric Faury est né dans une famille où l'art lyrique est du domaine du quotidien.

Eric Faury a délibéremment choisi de faire carrière en opérette. C'est Raymond Duffaut, directeur de l'Opéra d'Avignon, qui lui donne sa première chance. Bientôt on le retrouve au Grand-Théâtre de Bordeaux et sur toutes les scènes de France où il se taille une belle popularité :
"M. Eric Faury chante fort bien. (...) Sa voix est large, sa présence parfaite. Il a fort bien interprété les principales romances de la partition de Vincent Scotto notamment "Ce soir mon amour" et la fameuse "prière”.

Ses rôles préférés : les viennois ; il n'hésite jamais à apprendre un ouvrage long et difficile même lorsqu'au départ on ne lui propose qu'un nombre restreint de représentations.

L'opérette classique lui est également chère : Les Cloches de Corneville bien sûr, mais également La Fille de Madame Angot, La Mascotte et évidemment Offenbach dans des ouvrages comme La Fille du Tambour Major ou La Vie Parisienne. Dans la lignée des Michel Dens, il a mis Sou-Chong du Pays du Sourire à son répertoire.

Eric Faury aime interpréter les personnages romantiques. Ses incursions dans l'opérette moderne sont donc assez rares; mais on l’a remarqué à Reims et Lille dans La Toison d'Or, un Lopez qui mériterait d'être représenté plus souvent.

Il a repris des succès de Mogador le plus souvent dans de nouvelles productions : Vienne chante et danse ou Violettes Impériales. Du même répertoire, il a également chanté Les amants de Venise, aujourd’hui rarement montés En 1996, il a repris Douchka sur plusieurs scènes françaises. L’occasion pour lui de s’investir pour la première fois dans la mise en scène.

Le public aixois a déjà eu l’occasion de l’applaudir dans :

• Le Pays du Sourire (1996)
  Les Cents Vierges (1997)
  La Route Fleurie (1997)
  Balalaïka (2000)
  Princesse Czardas (2001)
  La Chauve-Souris (2002)
  Valses de Vienne (2003)
  Les Saltimbanques (2004)
  Sang Viennois (2005)
  Victoria et son Hussard (2006).

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Après des études scientifiques, Patricia Fernandez étudie le chant à Cannes, puis à l’Ecole de l’Opéra de Paris dans la classe de D. Dupleix.
Membre pour deux saisons de la troupe de l’Opéra-Comique, elle participe aux productions du Comte Ory (Isolier), Owen Wingrave (Kate), La Cantatrice Chauve (Madame Martin), Il Matrimonio Segreto (Fidalma), La Sonnambula, La Finta Semplice, L’Empereur d’Atlantis ainsi qu’à la création de G. Finzi Le Dernier Jour de Socrate.

Patricia Fernandez est ensuite invitée au Capitole de Toulouse pour Mercedes (Carmen) rôle qu’elle chante également à Nancy et à l’Opéra-Comique, à la Salle Pleyel pour Elektra (3ème Servante), à Nancy La Clemenza di Tito (Annius), au Festival de St. Ceré Les Nozze di Figaro (Cherubino) et Il Barbiere di Siviglia (Rosina), à l’Opéra-Comique L’Heure Espagnole et Les Mamelles de Tirésias, à Montpellier Le Comte Ory sous la direction de A. Zedda, à Metz Jackie O (Callas), Le Comte Ory, Die Zauberflöte et Les Saltimbanques, à Toulouse et au Théâtre du Châtelet Louise (Gertrude). Elle débute en 2000 au Festival d’Aix-en-Provence dans le rôle-titre de La Cenerentola, chante Suzuki (Madame Butterfly) à Dublin, Rennes et Tours, Meg dans Falstaff à Caen.
Elle interprète le rôle-titre de Carmen à Hong Kong, Dublin, à l’Opéra de Wallonie/Mastricht, Lüibeck et Massy, Mélisande dans Pelléas et Mélisande à Rennes, particulièrement remarquée par le public et la critique nationale. Elle participe ensuite à Jeanne au Bûcher au Massimo de Palerme, à Così fan Tutte (Dorabella) à Rennes, Norma (Adalgisa) à Dublin, Madame Butterfly (Suzuki) à Caen et à Rennes, Les Contes d’Hoffmann (Nicklausse) à Paris-Bercy - production J. Savary, Carmen (Mercedes) au Massimo de Palerme sous la direction d’A. Lombard ainsi qu’à La Scala de Milan en juin juillet 2004 sous la direction de M. Plasson.
Au cours de la saison 2004/2005, nous pouvons l’entendre dans Don Giovanni (Zerlina) à Liège, La Périchole (rôle-titre) à Saint Etienne, Avignon et Vichy, La Vie Parisienne (Métella) à l’Opéra Comique, Salomé à Saint Etienne et Nice, Les Saltimbanques à Limoges, deux Concerts Beethoven avec l’Orchestre de Paris sous la direction de S.Cambreling, des Concerts Mozart aux Festivals de Lacoste et Dreux, le Poème de l’Amour et de la Mer au Grand Théâtre de Tours et au Concertgebow d’Amsterdam.
Parmi ses engagements futurs : La Périchole à Avignon et Vichy, Cosi Fan Tutte à Liège, Avignon et Rouen (Dorabella), La Cenerentola (rôle-titre) à Dublin, sa première Charlotte (Werther) à Limoges, Carmen au Capitole de Toulouse (Mercedès) et à Saint-Etienne (rôle-titre).
Patricia Fernandez participe aussi à de nombreux concerts de musique sacrée et à des récitals en France et à l’étranger (Institut Pasteur, concerts Rossini organisés par Eve Ruggieri …).

Originaire de Picardie, Charlotte y commence sa formation artistique en passant ses diplômes au Conservatoire du VIIIème (Paris).
Passionnée par la Comédie et le Chant, elle entre à l’Académie Internationale de Comédie Musicale (Paris), dirigée par Pierre-Yves Duchesne, dont elle sort diplômée et se forme au théâtre avec P. Ruben (Acteur Studio, Paris 17ème) et surtout au Studio VO/VFLEE STRASBERG sous la direction de Jordan Beswick.

Charlotte crée le rôle de Camille dans « CLEMENCEAU » et celui de Margot dans «1588», deux musicals de Jacques Duparc joués en tournée en Vendée et au Grand Théâtre de Reims.

Au Zénith de Paris, Charlotte est à l'affiche du Spectacle Musical « DORA L'EXPLORATRICE ».
Elle participe ensuite à la création de « L'HOMME QUI RIT » (La Reine Anne) au Théâtre Adyar, et elle est également Liesl dans « LA MELODIE DU BONHEUR » à l'Opéra de Metz.
 
Dans le répertoire classique, elle joue Manon dans « LA VEUVE JOYEUSE », Lorette dans « LA ROUTE FLEURIE » et prochainement elle sera Greta dans « ANDALOUSIE », Clara dans « L'AUBERGE DU CHEVAL BLANC », et Pépi dans « VALSES DE VIENNE » à l'Opéra d'Avignon et au Grand Théâtre de Reims.

Charlotte était « Lulu » dans le Musical « CABARET » mis en scène par Sam Mendès aux Folies Bergères (7 nominations aux Molières).
Récemment, elle interprétait Cookie dans le Musical « FAME » au Théâtre Comédia, à Paris.
Elle est actuellement en tournée de « NO NO NANETTE » dans le rôle de Nanette.
 
En 2009, elle viendra pour la seconde fois à Aix-les-Bains, pour jouer Juliette dans « Méditerranée ».

Elle sera prochainement Manon dans la nouvelle Création de Jacques Duparc : « BONCHAMPS, la Force du Pardon ».

Isabelle Fleur fait ses études musicales au Conservatoire National de Région de St Maur où elle obtient six médailles d'or : piano, clavecin, solfège, musique de chambre, chant et art lyrique.

Elève et accompagnatrice de Mady Mesplé, elle devient également son assistante. Elle se produit sur les principales scènes lyriques francophones : Avignon, Limoges, Charleroi, Liège, Montréal, Reims, Québec... Dans diverses opérettes et comédies musicales : "Comtesse Maritza", "La Veuve joyeuse", "Les Mousquetaires au couvent", "Mam'zelle Nitouche", "Princesse Csardas", "Titanic"… .

Avec les Musicomédiens, elle a participé au spectacle "Le Voyage de Mozart à Prague" au théâtre de la Potinière. Elle crée le rôle de Margot dans « Sissi » de Francis Lopez à Paris au théâtre de l’Eldorado puis au Canada.

On la retrouve dans la compagnie Fracasse avec "Le Capitaine Fracasse" et "Le Tour du monde en 80 jours".

Depuis 1996, elle chante dans la compagnie Roger Louret : "Les Années zazou", "La Fièvre des années 80" aux Folies Bergère, "La Vie parisienne" à Bercy, "Les Cancans de la butte", "les Années tubes" sur TF1et "La Java des Mémoires".

Elle participe souvent à l'émission de Pascal Sevran "La Chance aux Chansons".

En août 1999 elle remporte le premier prix d'opérette (catégorie fantaisiste) au concours international de chant de Marmande. Elle  est Pauline dans "La Vie parisienne" mise en scène par Jérôme Savary
à l'Opéra-comique.

Avec le metteur en scène Jacques Duparc elle chante dans «French Cancan» aux Folies bergères, "Yes !", "La Belle Hélène", "Phi-Phi", "L’Auberge du cheval blanc", "Dédé" et "La Diva", une création qu'elle reprend en janvier 2004 au Forum à Liège.

Depuis 1999, elle participe au festival des châteaux de Bruniquel consacré à Offenbach, dirigé par Frank T’Hézan et Jean-Christophe Keck.

Médecin, Frédéric Bang-Rouhet étudie le chant avec Paul Finel et entre ensuite au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d'Art Lyrique de Xavier Depraz. Il obtient un Premier Prix de la Ville de Paris à l'unanimité, ainsi que le Prix d'interprétation de l'ADAMI et le Prix d'Opéra de L'Union Professionnelle des Maîtres du Chant Français.