Avec la GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN nous retrouvons la série des grandes opérettes « folledingues » de Jacques Offenbach.

Les amours multiples et tumultueuses de son héroïne (caricature de la grande Catherine II de Russie) vous transporteront dans une Cour imaginaire d’Europe Centrale gouvernée en sous-main par des militaires fantoches et des politiques pensant plus à leur confort personnel qu’au bien de l’Etat !

Comme toujours, les opéra-bouffes d’OFFENBACH sont une critique du Second Empire. Et l’on trouve ici tous les ingrédients qui ont fait le succès de celui qu’on appelait « le petit Mozart des Champs-Elysées » : chansons endiablées, refrains militaires  ou tendres romances, personnages déphasés, dialogues burlesques … mais qui font passer bien des messages.

Bien entendu, ce type de répertoire doit être servi par des chanteurs de grande classe et ce sera le cas ici… sans oublier, l’orchestre et le ballet du festival, éléments indispensables d’une telle « folie offenbacchienne » !

Le synopsis ici.